Quand une Coréano-Valaisanne débarque à Lyon
Et samedi, Koyangi débarqua enfin à Lyon.
Heureusement pour nous, pas de pluie, mais un bon froid vif comme je les aime (et qui m'a glacé les os jusqu'à ce que le Parisien vienne à ma rescousse me rapporte un bon gros pull), que Koyangi a su affronté avec brio avec son blouson en poil de lapin synthétique véritable.
A peine arrivée, et déjà départ pour Croix-rousse pour lui faire visiter la Maison des Canuts et cette partie de Lyon qu'elle ne connaissait pas -encore-. Recherche et achats dans une petite boutique que je viens de découvrir, l'Instant Poétique, ou Koyangi craque sur une pochette Cake de Bertrand (qui je l'avoue, me faisait aussi très envie), pendant que je me ruais sur un cabas, ultra pratique, surtout en cette période d'écologie obligatoire... C'est décidé, maintenant pour faire mon shopping, cabas, plus de sacs de magasins!!! (tendance que Koyangi a déjà adoptée, tous ses achats ont été fourrés dans son cabas en sac thaïlandais recyclé).
Source: http://www.wuandwu.com
Sur le chemin de l'Ourson qui boit, passage obligé par le Cour des Voraces, et une ou deux petites traboules, histoire de. Au restaurant, Koyangi fait connaissance du Parisien et je deviens la plus gâtée de la Terre. Outre le fait de nous offrir quelques macarons Bouillet (le Ladurée Lyonnais), et des kilos de chocolat suisse, Koyangi m'offre de quoi embellir (et alourdir :)) mon bracelet Thomas Sabo avec.... Le nounours guimauuuuuuve!
Ensuite départ vers Bellecour, non sans nous arrêter, au Palais des thés lui faire découvrir le Thé du Hammam (et moi fantasmer sur des tasses lapins (Papa Noël, si tu m'entends...)), chez Lollipops qu'elle ne connaissait pas et où elle a encore failli craquer, et enfin chez Violette Et Berlingot, mon repère de douceurs (ou elle rencontra Pincess (ce après quoi elle m'a vrillé les oreilles avec ses "j'ai vu Pinceeeeeeeeeeeeeeess"!!!!)).
Avec l'arrivée de la pluie, nous nous réfugions dans la Brasserie où j'avais rencontré le Parisien pour la première fois (séquence émotion)... pour blablater encore...
Puis il fut le temps de ramener cette chère Koyangi à la Gare (au pas de course, j'avoue, mais j'avais pas envie qu'elle loupe son train). Et dans le métro du retour, grelottante de froid dans mes sal*peries de Geox mouillées (respirantes ouais, capillarité aussi), j'ai repensé à cette journée, à ces conversations, à l'enrichissement, à sa simplicité et son émerveillement de tout, de la vie, et au fait que c'est terriblement chouette de rencontrer de si belles personnes